mardi 25 août 2009

De l' interet du souffle conscient, en situation

"Alors pourquoi cela me donnait ce pincement quand les gens m' appelaient radical?"

Les personnes envoyaient un signal, un signal de communication.
Ce signal est émis pour faire comprendre que dans ce cas quelquechose ne se passe pas normalement, selon leur point de vue personnel.
 
Selon son intensité, déterminée par l' intention, volontaire ou spontanée de son émetteur, celui-ci peut être perçu comme une sensation désagréable, c 'est un stress. Chaque stress a différents degrés.
Cette sensation chez le destinataire se manifeste par une tension, une contraction au niveau du diaphragme, et donc aux organes et muscles périphériques, notamment abdominaux, sollicités proportionnellement à la force de cette tension.

Je détermine qu' il s' agit d' une projection, comme un vent d' énergie, dont on pourrait trouver l' origine dans la modification du rythme respiratoire calme, vers une soudaine accélération ou un blocage subît des muscle thoraciques et du diaphragme.
Comme pour une toile de tambour sur laquelle un coup provoque une onde de choc qui se diffuse et se déplace à la vitesse du son, cette nouvelle inertie crée une vague qui parcours l' espace environnant, percute et sollicite les corps à proximité.

Ce signal de puissance équivalente, dans ce cas probablement, à des mots, des gestes pendant un dialogue par exemple, peut être perçu comme une gène. Il peut en effet être désagréable d' avoir sa propre respiration, son propre calme général dérangé par autrui ou autre chose.
Encore davantage lors d' une discussion « à cœur ouvert » où la qualité de l' écoute nécessite une ouverture particulière, à la fois intellectuelle et localisée physiquement au niveau des récepteurs de l' abdomen et donc du diaphragme.
Plusieurs comportements sont possibles,

L' abandon, un individu affaiblit cède, pour une durée variable.
Ceci est observable lors de rapport de force inègal, manque de nourriture (qui provoque à lui tout seul une fluidite du rythme respiratoire retenu...)

La réaction est une option, consistant en un retour, un renvoi d' information, d' énergie avec pas ou peu de réflexion.
Ce comportement peut engendrer une escalade de violence mutuelle et possiblement une rupture de la communication.
Respirer mutuellement côte à cote devient difficile, soit un protagoniste arrête de respirer soit il y a un éloignement, ou un retour au calme...

la réponse consiste à ne pas réagir à ce qui ressemble à une provocation, mais plutôt analyser pour apaiser.

L' origine de l' impulsion correspond à un avertissement pour alerter d' une déviance par rapport à un comportement de sécurité.
 L' origine de l' impulsion peut correspondre encore à une mauvaise intention. Chauqe individu ayant cette capacité à communiquer une énergie.

Ceci explique l' écoute de l' auteur, et la présente lettre dans laquelle il expose le fait que son comportement murement réfléchi est bien sain, même s' il diffère de ce qui considéré comme la normalité par les gens qui le jugent, avec leurs propres systèmes de valeurs.
Ces systèmes de valeurs sont constitués par l' éducation, et ils sont donc renouvelables.

L' auteur observe son comportement qui suscite le jugement et le dégagement énergétique parfois désagréable de ces interlocuteurs; il observe et se rappelle, démontre aussi, que ce comportement est bon.
Alors la gène ressentie lors de l' accusation de 'radical' n' est pas un ''avertissement'' à écouter, suivre pour se remettre en question, cette sensation provient d' un jugement élaboré à partir d' une forme d' ignorance, accompagnée d' une communication agressive.

La pertinence du message a été évaluée, 

Il n' y aura pas de doute persévérant lors d' une éventuelle prochaine situation similaire.
L' auteur aura renforcé sa confiance en lui, sa confiance dans la qualité de ses convictions,
Ainsi, même si le souffle est perturbé, porter son attention dessus, en d' autres termes méditer, permettra de se libérer avec plus d' aisance.

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